dimanche 6 décembre 2009

HumanismeMESSAGE HUMANISTE ET CITOYEN - 4/12/2009

6 commentaires:

  1. Peut-on influencer le pouvoir politique sans jamais aller, ou au moins menacer d'aller, sur le terrain électoral?

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  2. Election 2010 Dard 'y L' ELU DE CONFIANCE



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  3. Bonjour (et Salut Patrick pour les « contrepoètes »)

    Ici Londres ! Les faiblards Français « causent aux » Français, avec quelques passages de « L’histoire de France vue par San-Antonio » :
    - Notre Pays est un creuset où s’opèrent des alliages de races.
    - Béru : Des étrangers, voilà ce que nous sommes nous autres Français. D’où que tu « soyes » originaire ; t’apprends que jadis c’était pas Français.
    - Le grand homme n’est grand que par la connerie des autres. Ce n’est même pas un borgne chez les aveugles, c’est un aveugle parmi les aveugles mais qui prétend voir.
    - La plupart des gens s’imaginent que c’est la misère qui donne aux hommes le besoin d’unité ; erreur : c’est le pognon.
    - Tant que les pauvres sont pauvres ils ont le sentiment de ne jamais pouvoir accéder à une position importante et ils mijotent dans leur résignation, mais le jour où un pauvre (pas con) ne l’est plus, il pige que dans ce bas monde tout est possible et qu’entre un valet milliardaire et un noble ruiné, la différence joue en faveur du valet.
    - Les hommes, depuis toujours, ont pris l’habitude de se marrer quand on leur dit la vérité. Y a que le mensonge qui les fasse goder. L’illusion ! La fumée ! Leurs quatre vérités, ils les lisent dans la Clé des Songes exclusivement. Peut-être qu’ils ont raison, je sais pas ? Il est certain que la vérité a mauvaise mine et que si on ne la fardait pas à outrance on ne pourrait pas cohabiter longtemps avec elle. Alors on lui passe du fond de teint, du vert aux paupières, du marron aux sourcils et on crie bien fort qu’elle est belle et sexy. Comme la plupart du temps elle sent la mort ou la m…on la parfume, on la couvre de fleurs. Mais les fleurs aussi meurt, non ? Alors ? Où il est le béneff ? Sursis ? Oui, sursis ! Le but de tout ! Le grand objectif, c’est quelques minutes ou quelques années de plus à vivre.
    - Ah ! La mémoire mon Béru ! C’est quelque chose. Un homme d’état ne peut faire carrière sans elle, car il doit se souvenir de toutes les promesses qu’il devra oublier.
    - « La patrie c’est où on se sent bien » a dit Aristopane. Pourquoi donc ressens-je l’impression pénible de ne plus être tout à fait chez moi.
    - Thiers : « Il ne faut jamais livrer la Patrie à un homme, n’importe l’homme, n’importe les circonstances. »
    Fin de citation.

    Loin des logomachies aux argutieuses sentences et des débats aux oiseuses pensées, les élus d’une démocratie moindrement républicaine, ayant abandonnés aux ploutocrates son unité, décomposés les ruines de ses révolutions, putréfiés les vestiges de civilisation, et laissés la charogne au porteur de la Croix, sa liberté dévoyée conduisant le Peuple vers une ochlocratie mortifère, il faut se rendre à l’évidence : « Nous n'écoutons d'instincts que ceux qui sont les nôtres Et ne croyons le mal que quand il est venu. ».
    Alors c’est la fête au slogan :
    « Travaille(r/z) plus…» et nous voilà l’effet salaire.
    « Les faits sont là… » répétés.
    Un bourre tous et tous bourrin.
    Tout ceci pour dire que le temps n’est pas plus, aux petits cahiers de doléances issus de la cour des miracles, qu’à pontifier sur des reliquats mensongers d’une Démocratie que le peuple a confié à des usurpateurs, comptables de leurs seuls intérêts ; mais plutôt à décréter l’urgence international pour reprendre le contrôle de nos sociétés et de nos économies…***

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  4. ***…Je vous proposerais bien de réformer réellement les choses, jusqu’à la résolution des dettes des états en vous expliquant ce qu’est une monnaie d’échange, afin d’éviter de faire, ce qu’ils font contre leur propre volonté : l’opération Robin des Bois. A savoir qu’ils paupérisent les riches avec la pauvreté des autres. Et n’y voyant aucune issue, les apologistes de la grande Bushrie, croient que c’est le moment tant attendu de l’eschatologie collective. Et même si le journaleux Béruréen le dément, le dément éburnéen peut-il encore y voir ?
    Mais lorsque l’on constate la baisse des dons pour la recherche, alors que votre fayot en chef a été se vanter auprès de Sans Noblesse de Pannonie d’avoir économisé 70 M, qu’entre l’oseltamivir et les masques de la grippe aviaire à 700 M, la vaccination grippe porcine 1500 M, si on passe sur les spéculations immobilières louches, les grosses augmentations des élus et leur retraite et leur assurance chômage, il y a encore la compagnie colonel où la sauce y était gêne et râle, c’est près de 5.4 milliards de « béneff » réduits à 0,2 par hasard; plus le remboursement prématuré de 5 milliards de prêt à l’état avant la déclaration fiscale ce qui fait environ 3,5 milliards d’impôt sur les sociétés qui ont fui vers l’étranger…La liste n’est pas exhaustive puisque la loi Coluche est une niche fiscale, et qu’il reste encore des choses à vendre de la France.
    Dans les reproches je pourrais aussi parler du « sac à sapin » ou des protège-cahiers du handicap, à la place pourquoi ne pas proposer une taxe aux industriels de l’armement (taxe car bonne contre le « C’est O DiEUX »), afin de ne pas augmenter la marge des fabricants d’armes, en prenant en charge l’achat des prothèses, mais tout ceci semble normal pour la télé de demander aux gens d’enrichir la monstruosité. C’est comme la décharge des états de la protection sociale, au dépend de la générosité publique, en quelque sorte c’est une double imposition ; le même doublement lorsque la TVA baisse et que des gens « ne jouent pas le jeu » (naïveté gouvernementale multirécidiviste); et l’indigence du monde mise en jeu à la télé : « Pas de chance pour la misère ! La vedette était inculte » …
    Et tout ceci sur fond de politiquement correcte, de polémique médiatique, dans la vacuité des propos et l’indigence d’esprit des salons littéraires (ou plutôt publicitaires), où les célébrités « aux visites récursives » me font penser que la France est devenue un très très très petit pays…La réalité est-elle là ?
    M. Sébastien, votre utopie c’est de vouloir soigner la gangrène du mauvais exemple, avec des désenchantés à qui l’on a désappris le goût de la Liberté. Alors comme beaucoup de monde semble croire que cela est impossible, paraphrasons le dicton, et soyons les imbéciles qui ne le sachant pas, le feront.
    Au revoir, à bientôt
    Frilades (acronyme article 1 de notre Constitution)
    P.S. Pour commencer, avant que votre influence ne représente un danger pour les lumpistes (Union pour le Mérite Personnel : un idéal en piste ou l’idée à lampiste) et qu’ils vous mettent la tête dans le SAC. avant de vous cambrioler comme Mme S.R. (ni stéradian, ni strontium, ni social-révolutionnaire … pourtant malgré le premier sinistre de Villepinte ils n’ont pas pris garde (du nord) à qui « commande et émeut(e) » avant des élections) ou vous ressortent un vol de mobylette de votre casier judiciaire comme M.C. (pas d’heure à peur, mais un celtique malade en ferait un homonyme de Mac Aux queux l’huche), nous pourrions obtenir rapidement un système référendaire simple grâce à un réseau informatique, n’étant pas Internet, mais connu de tous depuis des années, enfin je croiX… ??? A suivre.

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  5. C'est un projet juste énorme qui donne envie d'être suivi de très prêt Est- il encore possible aujourd'hui de croire en une cause?? Disons que derrière un personnage comme Patrick Sébastien, je pense que c'est un "tout" qui peux rassembler des foules. Effectivement, ce n'est pas une histoire de gout artistique. Il faut dépasser cela et voir la profondeur des propos. Il est un personnage public qui a toujours débordé de vérité et d'intelligence, artistiquement oui creusez un peu . J'ai beaucoup aimé son propos sur les profits. En cela il se démarque de l'extrême gauche. Et oui ce qui fait desfaut dans notre société c'est l'humanisme. La société actuelle a oublié que chaque maillon d'une chaine FORME la chaine! et qu'à chaque niveau c'est le respect de l'autre et le regard de chacun qui donne un sens à toute chose. Retrouvons ce sens! Quel courage de la part de P. Sébastien face à cet engagement Est il conscient qu'il peut devenir un vrai leader? L'engagement politique ...là je pense qu'il devrait aller plus loin Oui c'est par " l'engagement totale" que l'on arrive à changer les choses et à se faire entendre Et pour ne pas se faire récupérer par un parti qui défendrait mal les intérét des vrais "gens" cela va devenir inévitable Une association citoyenne dans un premier temps OUI mais avoir sous le coude l'idée d'aller plus loin me semble indispensable Voilà mon point de vue !! Alors le poing sur le coeur,j'ai hâte de voir tout cela en marche Mais vite la marche sera longue et beaucoup beaucoup de personne manque de temps.

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  6. Moi je dis... RÉVOLUTION SOCIALISTE! et À BAS LES RÉFORMISTES!

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